William Hill [APPROUVE]

~ Formulaire de William Hill ~

Nom :Hill
Prénom (et/ou surnom) : William / Bill
Age : 31 ans
Description physique William est assez grand et d'une constitution forte dûe à beaucoup d'exercices physiques. Il possède les cheveux mi-longs et bruns lui tombant souvent sur le visage ainsi qu'un bouc et d'une petite moustache. William s'habille simplement, un simple T-Shirt ou un débardeur lui suffise le plus souvent.
Ses yeux bruns le trahissent souvent sur ses émotions qu'ils laissent transparaitre.
William porte aussi un médaillon autour du cou aussi grand et large qu'une pièce d'or qu'utilisaient les pirates et on peut voir en son centre des signes celtiques, souvenir de son oncle décédé avant guerre. Cet objet est d'ailleurs le seul que lui est légué cet oncle. :

Description morale William est d'un naturel renfermé et calme, il ne s'énerve que très rarement mais lorsque cela arrive il est capable de tuer. L'amitié est une chose qu'il n'a que très rarement connu car il est très méfiant et accorde sa confiance difficilement. Il n'aime pas la foule et se refuge très souvent dans sa musique qui est à son sens sa seul alliée éternelle.
William est aussi claustrophobe dû à un accident lorsqu'il était encore petit qui engendra un traumatisme et n'a jamais réussi à s'en débarrasser malgré de nombreuses thérapies :

HistoireDepuis tout petit il avait été attiré par la musique et plus particulièrement par le piano, un instrument si distingué et produisant un son si fin, si agréable à l'oreille. Il a commencé à en jouer à l'âge de 6 ans, son oncle avait été son professeur durant toute son enfance jusqu'à ce qu'il meure lors d'un tragique accident de voiture. William avait alors 19 ans et décide de continuer ses études d'arts afin de se perfectionner et ainsi aspirer à une carrière de musicien.
Et même après avoir reçu ce diplôme tant attendu ses professeurs ont continué à le suivre, à l'encourager pendant ses premiers concerts, lorsqu'il composa ses premières partitions, dans son choix lors de l'achat de son piano.
Ils étaient pour ainsi dire comme une seconde famille.
Oui ils ont continué à le suivre jusqu'au jour où cette guerre se déclara.
Tout commença le jour où une annonce fût diffusée sur toutes les chaines d'informations et sur laquelle William était tombé par hasard. Il avait tout de suite remarqué le sourire crispé du présentateur, il semblait très stressé et particulièrement inquiet. Et oui effectivement il y avait de quoi, il devait annoncer une nouvelle plus que sombre.
Il n'y avait plus assez d'eau pour tout le monde, l'humanité allait tout simplement disparaitre.
A partir de ce jour là, de cette annonce tout se passa très vite, tous les pays du monde se déclarèrent la guerre, les avions passèrent au dessus de chez lui, allant dans un premier temps bombarder la capital puis le pays tout entier. La panique était totale, les gens se volaient, se tuaient pour de l'eau.
Et un jour tout bascula, on entendait parler d'un virus, d'un virus mortel tuant tout humain d'une façon atroce.
C'est alors que William vit sa famille mourir, ses amis mourir, ses camarades, ses professeurs, ses voisins, tout le monde mourait.
Les rues se retrouvèrent très vite jonchées de cadavres, de mouches et de rats... Des rats qui étaient devenus de plus en plus gros de plus en plus grands et surtout de plus en plus dangereux.
William commençait à devenir fou à lié, s'enfermant dans son immeuble et passait ses journées à jouer du piano jusqu'à ce que ses doigts ne puissent plus le permettre.
La musique d'un fou dans une ville fantôme
Il ne dormait plus, il ne pensait plus, sa conscience lui disait de mourir mais son corps ne le voulait pas.
William survivait, attendant quelque chose, un signe...
Et un jour, un jour banal en apparence mais qui resta gravé dans sa mémoire tout le restant de sa vie. Un message était diffusé en boucle sur la radio,un message d'un homme à la voix désespérée, et qui demandait de le rejoindre, qu'il avait de quoi vivre.
Il y avait donc des survivants, il n'était pas seul et cette voix leur demandait de le rejoindre.
William s'était mis tout de suite en route, ne prenant que le strict nécessaire et même moins ce qu'il regretta bien des fois pendant son long voyage à travers le pays afin de retrouver la ville de cet homme.
Il mit environ un mois pour la rejoindre, devant trouver des chemins sûrs afin d'éviter les rats ou encore devant faire des détours afin de prendre du ravitaillement ou trouver un point d'eau.
Mais il arriva, dans une ville tout aussi fantôme que la sienne à la seule différence qu'au centre il y avait un supermarché, un supermarché avec des êtres vivants, des humains.
Et le voilà maintenant en train d'écrire ce formulaire devant une secrétaire bourrue assit sur un banc en attendant qu'on vienne l'accueillir...:

Tics/Manies/Signes particuliers :William fume assez rarement, pendant des moments de stress, juste avant un concert juste afin de se détendre, sa consommation par ailleurs a beaucoup augmenté depuis la déclaration de guerre et encore plus lors de la propagation du virus.
Ses cheveux lui tombant souvent sur le visage, il a pour l'habitude de les plaquer vers l'arrière.
William possède sur son bras droit trois tatouages, l'un représentant une Tête américaine indigène sur le biceps droit, le deuxième le Symbole de 'The Brave' sur l'avant-bras droit et le dernier "Jack" avec un oiseau en vol sur l'avant-bras droit.

Personnel

Multicompte :Non

Célébrité sur l'avatar :Johnny Depp

Réflexions sur le forum :Aspect sérieux et professionnel, sujet s'inspirant plus ou moins de notre actualité et intéressant

Comment avez vous connu le forum :Par l'admin

Mot de passe du règlement (caché dans les 4 sujets du règlement) : VALIDE

Brigitte sentit qu'on lui tendait un papier, mais elle ne le prit pas tout de suite. Elle leva distraitement les yeux de ses mots croisés, détaillant le nouveau venu.

Hum, un bel homme, pensa-t-elle rêveusement.

Elle se décida à prendre son formulaire, non sans lui adresser un sourire un peu grotesque. Elle commença à lire, tapotant la table de son crayon.

"Voyons voyons" minauda-t-elle " Monsieur est modeste ? Pourquoi décrire si peu votre physique -pourtant avantageux- ? Vous savez, nous ne pouvons pas retenir le nom de tous ceux qui vivent dans le Centre, une description nous est très utile pour reconnaître qui est qui..."

Elle s'apprêtait à lui rendre le formulaire pour qu'il le complète, mais finalement songea qu'il serait peut-être plus utile de lui signaler l'ensemble des erreurs.
Elle repartit dans sa lecture, ponctuant le silence de quelques reniflements.

"Vous avez bien 35 ans, si ce que vous m'avez marqué est exact ? Comment cela se fait-il que vous me parliez encore de vos professeurs, c'est assez troublant..."

Brigitte tiqua un instant, grommela et lui tendit son formulaire avec sécheresse.

"Et je ne suis pas bourrue."

Le beau jeune homme revint avec un joli sourire d'excuse, et Brigitte se surprit à pardonner l'adjectif dont il l'avait affublé. Au fond, n'étais ce pas vrai qu'elle était un peu sèche et mal aimable ?

Mais qu'est ce qui me prend de penser cela ?!

Elle ne laissa rien transparaître de la douceur qui avait un instant traversé son coeur et continua de garder son expression vexée et offusquée. Peut-être qu'il essaierait de s'excuser pour de bon ? Serais ce donc la première fois qu'un homme aussi charmant s'inquiétait de ses sentiments ?

Oh voyons Brigitte, secoue toi un peu, on s'apitoiera plus tard.

Elle reprit le formulaire un peu plus doucement que la première fois et relut les passages déficients. Cette fois ci, elle se vit satisfaite et sortit son gros feutre rouge.

"Vous devez quand même être drôlement étourdi pour oublier ainsi votre âge" fit elle remarquer en écrivant son habituel APPROUVE, "En tout cas, je vous rassure, il était évident que vous n'aviez pas 35 ans. Vous faîtes tellement plus jeune..."

Elle émit une sorte de gloussement grossier en rangeant le formulaire, rajusta ses lunettes qui avaient glissé tandis qu'elle riait et fit un sourire qui se voulait charmeur.

"Quelqu'un va probablement venir vous souhaiter la bienvenue" ajouta-t-elle en dévoilant son dentier "Vous devriez attendre un peu ici. Vous me tiendrez compagnie..."

Et elle rit à nouveau en récupérant un bouquin qui traînait sur son bureau et en l'ouvrant sur la dernière page au coin cornée.

William sentit que l'on prenait des mains son formulaire pendant qu'il continuait de regarder autours de lui.
Enfin il ne faisait pas que regarder il écoutait, il écoutait ce silence continue ponctué par le bruit du stylo de Brigitte.
Ce silence fît alors naître en lui le désir de jouer du piano, de jouer pour les survivants, de jouer pour en quelque sorte fêter son arriver, montrer le bonheur qu'il éprouvait par la musique et le faire partager à tout les autres.
Une question trottait dans sa tête mais il ne voulait pas couper la secrétaire.
Ainsi il attendit le moment voulu, écoutant calmement ses paroles.
Elle lui disait qu'il devait être un peu étourdit pour oublier son âge mais qu'il faisait plus jeune.
William sourit, il avait bien vu qu'elle essayer de le complimenter et essayer de lui sourire ce qu'elle n'avait apparament pas l'habitude de faire.
Elle avait sans doute dû vivre des moments difficile même avant tout cela.
Mais un jour peut-être le monde sourira comme avant, peut être que Brigitte elle aussi sourira.
Elle lui dit que quelqu'un allait venir le chercher pour lui présenter la situation actuelle de ce supermarché, ses différentes pièces, ses équipements...
Il espérait que ce soit cet homme, Edward Grey qui lui fisse, cet homme qui l'avait sauver de sa folie, cet homme qui les avait tous rassembler afin de fonder une "Nouvelle Société"
Soudain sa question lui revînt et la posa donc à Brigitte en lui souriant.
Décidément ce virus avait vraiment changer le monde, même lui qui auparavant ne souriait que très peu.

"Dites moi, y'a-t-il un piano ici ? j'aimerai beaucoup en jouer si possible"

Il espérait au fin fond de son coeur que oui, sans ça il perderai son ami le plus cher...
William retourna alors à sa place en regardant la secrétaire, attendant sa réponse.
Attendant cette personne qui allait lui faire découvrir ce nouveau monde.

C'est à cet instant qu'Edward, venant tout juste de sortir de son bureau, vit le nouvel arrivant. Aussitôt, il posa à même le sol la boite de papiers qu'il transportait et se dirigea, tout souriant et main tendu, vers le nouveau venu.

"Oh, bonjour ! Pardonnez moi, on ne m'a pas prévenu de votre arrivée" dit-il en coulant un regard désapprobateur à la réceptionniste (qui n'avait pas même eu le temps de répondre à William)

Il avait pourtant stipulé qu'elle le prévienne immédiatement si un survivant arrivait. D'autant plus qu'il était dans son bureau, donc juste à côté d'elle, et qu'elle aurait pu le lui crier.
Elle était plus vraiment à ça près avec lui.

Mais enfin, cela n'avait pas d'importance. Tout ce qui comptait, c'était qu'il y ait encore quelqu'un d'autre qui eut survécu, et c'était une nouvelle des plus excellentes.

"Je suis Edward Grey - le gars de la télévision si vous préférez. Bienvenue au Centre de notre Nouvelle Société, j'espère vraiment que vous n'avez pas eu trop d'ennuis à l'extérieur avant de nous trouver."

*Quelle question débile*, se rendit-il compte. Bien sûr que ça avait été l'enfer dehors, avec les cadavres en décomposition, les rats qui s'en faisaient un véritable festin et qui, parfois, devenaient vraiment agressifs, la solitude, le désespoir...
Et lui qui demandait s'il n'avait pas été trop embêté par son voyage. Franchement.

"En tout cas, vous êtes en sécurité ici" se rattrapa-t-il "J'ai vraiment foi en notre survie et je pense vraiment qu'on s'en sortira"

Il sourit, d'un sourire peut-être un peu trop grand qui cachait un peu de réticence. Même s'il n'était pas aussi confiant qu'il le prétendait, il fallait bien rassurer les survivants encore désemparés qui avaient un véritable besoin d'espoir et de sérénité.
Il se rendit alors compte qu'il n'arrêtait pas de parler et que le pauvre rescapé n'avait pas eu la moindre occasion d'en placer une, aussi se tut-il, un peu honteux.
Il était décidément trop expansif avec les nouveaux.

William continuait d'attendre la réponse de la secrétaire quand soudain un homme surgit dans son champ de vision, la main tendu et souriant.
Il parraissait très enjoué et heureux de le voir comme si il l'avait toujours connu, comme si ce n'était que deux bons copains qui ne s'étaient pas vu depuis longtemps.
Cette pensée le fît se souvenir de ses propres amis qu'il avait connu pendant ses études et qu'il n'avait jamais quitter depuis...enfin jusqu'à cette guerre, cette foutue guerre qui les avait tués, eux, sa famille, la famille de ses amis, tout le monde.
William sentit à la fois la rage montait en lui ainsi qu'un sentiment d'impuissance, après tout il n'avait rien pu faire pour les sauver...Il n'aurait rien pu faire.
Mais se rappellant de cet "ami" qui s'était présenté à lui il se força à chasser cette mauvaise pensée.
Et lorsque son attention revînt complétement vers cet homme il comprit que cet "ami" n'était pas n'importe qui, c'était en effet le Chef de la Nouvelle Société: Edward Grey "l'homme de la télé" comme il s'était lui même nommé.
Il lui demanda alors si son voyage c'était bien passé, étrange question pensa William enfin peut-être que certain survivants avaient fait bon voyage, mais il en doutait un peu quand même.
D'ailleurs Edward lui aussi semblait s'être rendu compte de sa question et avait comme pourrait-on dire "bugué" l'espace de quelques secondes, perdu dans ses pensées.
Depuis le début il n'avait pas arrêter de sourire comme pour le rassurer et cela se confirma lorsqu'il lui annonça qu'il n'avait rien à craindre et qu'il était désormais en sécurité.
Il semblait très chaleureux et content de voir un nouveau survivant mais William vit que c'était aussi un homme très fatigué comme en témoignait les énormes poches qu'il avait sous les yeux.
C'est vrai que s'occuper à contruire un nouveau monde ne devait pas être simple.
William se promit alors de faire du mieux qu'il pouvait afin de l'aider à fonder cette Nouvelle Société.
Car comme Edward lui aussi croyait à la renaissance de l'humanité car l'homme avait beau être l'animal le plus stupide de toute l'histoire de notre belle planète il n'était pas mauvais au fonds.
Soudain William se rendit compte que lui même ne s'était pas présenté et il n'avait fait que de le regarder parler.

"Ainsi c'est vous Edward Grey ? Ravi de vous rencontré !" dit-il en attrapant la main du jeune homme afin de la serrer énergiquement.

La joie s'était emparé de son corps, il allait enfin pouvoir servir à autre chose plutôt que de jouer pour ses rats mutants qui l'avaient rendu en parti fou.
Un sourire avait illuminé son visage et pour la première depuis l'apocalypse il se détendit, il était enfin en sécurité.

" Je m'appelle William Hill, je viens juste d'arriver et de remplir ce formulaire que cette charmante dame m'a fourni" dit-il en désignant Brigitte qui avait toujours le nez dans son bouquin.

Le silence s'installa un instant entre les deux hommes. Edward songea que le nouvel arrivant avait l'air complètement enfermé dans sa tête, perdu dans un monde inaccessible.

*Mon Dieu, faites qu'on ne soit pas tombé sur un fou* pensa-t-il malgré lui, un peu honteux d'avoir eu cette pensée assez méchante.

Mais l'homme finit par se ranimer, comme si le courant passait à nouveau en lui. Il saisit la main d'Edward qu'il serra vigoureusement tout en lui répondant, comme s'il n'y avait eu aucun blanc dans la conversation. Pas un fou, juste un rêveur un peu lent.

Il souriait à présent, et il était évident que cela faisait un moment qu'il n'avait pas sourit ainsi. Il irradiait beaucoup trop la joie, comme si, maintenant qu'il était capable d'un tel sentiment, il l'exprimait à outrance, profitant de ces quelques instants où il pouvait être vraiment heureux.
Cela ne durerait sûrement pas longtemps, hélas.

Il finit par se présenter et d'expliquer qu'il venait à peine d'arriver. Le sourire d'Edward grandit encore.
Chic, il allait pouvoir faire la tournée du Centre avec un nouveau, comme il l'aimait.

"Vraiment ? Vous n'avez rien eu le temps de visiter alors ?" demanda-t-il avec excitation.

Il savait que sa réaction était un peu trop disproportionnée par rapport à ce qui l'attendait.
Faire visiter le Centre, c'était pas comme les montagnes russes, mais dans la situation présente les petits plaisirs avaient tendance à prendre tout de suite beaucoup plus d'ampleur.
Edward se tourna vers la réceptionniste (qui rougissait, tiens ?) et lui indiqua qu'il reviendrait plus tard.
Puis, il se tourna à nouveau vers William, les yeux pétillants.

"Venez avec moi, je vous emmène. Et ne vous inquiétez pas, j'ai tout mon temps" précisa-t-il en riposte à un refus éventuel.

Il commença à avancer, puis se retourna pour voir si William le suivait.
Il était prêt à attendre un peu, au cas où le jeune homme était vraiment trop dans la lune pour comprendre ce qui se passait.

Durant un instant William vit une lueur de crainte dans les yeux d'Edward mais elle s'estompa assez vite des lors qui eut commençer à parler.
Qu'avait-il craint ? Avait-il peur de lui ? Ou bien est-ce autre chose ?
Peut lui dirait-il un jour.
Celui-ci l'écouter calmement et lorsqu'il annonça qu'il venait tout juste d'arriver son visage s'illumina et il lui dit qu'il se ferait un plaisir de lui présenter l'ensemble du centre commercial.
Edward semblait très entousiasmé à cette idée un peu comme un enfant qui veut présenté son dessin à ses parents.
De son côté William était ravi que ce soit lui qui lui fasse la visite, après tout il devait être celui qui connaissait le mieux les lieux et puis de cette façon il pourrait peut être en apprendre plus à son sujet ainsi que sur l'ensemble des survivants et surtout au sujet d'un piano...
Cette question lui trottait toujours dans la tête puisque Brigitte n'avait pas pu lui répondre.
Il se rendit alors compte que cet instrument l'avait toujours accompagné et il en était en quelque sorte devenu dépendant.
William vit qu'Edward commençait à partir en direction d'un couloir blanc mais se retourna au seuil de la porte comme pour voir si il suivait bien.
Il se retourna vers la secrétaire et lui dit

"Aurevoir Brigitte à la prochaine peut être"

Et William se dirigea vers Edward qui l'attendait toujours en souriant.

"Allons-y j'ai hâte de voir ça " dit -il d'un ton enjoué.

Il se mirent alors tout les deux en route s'enfonçant dans le couloir blanc avec cette question qui revenait inlassablement dans sa tête...

suite de ce rp : direction le bar/restaurant