Mearyl Day

"Ah, un nouveau venu" lâcha une voix. Une jeune femme s'avenca alors vers elle, doucement. La dame, qui paraissait plus impolie que tout autre chose, donna une fiche à remplir à la jeune femme. Celle ci saisit le morceau de papier avec douceur. Puis on lui désigna un banc, sur lequel elle alla s'assoir comme on lui avait "ordonnée". Elle regarda la donneuse de papier à remplir d'un regard vif puis reposa son regard triste sur le fameux morceau de papier blanc. Il fallait remplir tous les champs, bien ce serait fait, mais à peine avait-elle regardé les mots écrits qu'elle semblait comprendre que la simplicité ne s'y trouvait aucunement. Elle pointa la mine de son crayon à papier sur le premier champ à remplir:

~ Formulaire de Mearyl Day ~

Nom :
Day


Prénom (et/ou surnom) :
Mearyl ~Meary


Age :
Environ 25 ans


Description physique (5 lignes) :
Jeune femme au cheveux bruns, mi-longs, et bouclés, suivi d'une frange jusqu'au bas du front. Elle fait jeune. Elle a des traits fins et simples, des lèvres roses et fines. Elle a aussi des yeux de couleur foncée, un regard sombre et mystèrieux. Elle a une allure tres féminine et une silhouette simple mais élancée. Elle est souvent habillée soit de vêtements clairs, bancs la plupart du temps pour le haut et un simple jean pour le bas, de petites chaussures blanches ou noires assorties avec ce qu'elle a. Elle dispose aussi d'un ensemble composées d'une robe rouge qu'elle ne met plus, robe appartenant à sa mère, lui rappellant de mauvais souvenirs, et de petites ballerines.

Description morale (5 lignes) :
Mearyl était tout d'abord joyeuse et agréable à vivre. Elle souriait calmement lorsqu'elle discutait avec quelqu'un. Mais aujourd'hui tout à changer; son sourire n'est plus, il a totalement disparu. Elle détourne toujours ses yeux de ceux des autres lorsqu'elle les croise. Elle est maintenant d'un naturel timide. Elle passe souvent inaperçue partout où elle va. Elle parle peu. Juste le necessaire. Elle répond aux questions qu'on peut lui poser, comme un pantin, elle ne réagit plus aux sourires des autres, il est vrai qu'il n'y en a plus beaucoup. Elle a peur. Il y a peu de sourires sur son visage et lorsqu'elle sourit c'est pour cacher son déséspoir ou essayer de paraître naturelle. Elle aimait écrire des poèmes et chanter auparavant.

Histoire (bref résumé de sa vie + RP de 10 lignes sur la manière dont il/elle a vécu l'Apocalypse -à il ou à je-) :
Mearyl était une jeune femme, souriante, amicale. Elle aidait son père dans son travail de tous les jours. Sa mère étant morte quelque années plutôt, elle la remplacait comme elle pouvait. Mais son père la battait,l'empechait de sortir, ce qui fit qu'elle ne connaissait pas grand monde à part les gens du travail de son père, et la nourissait très peu, elle allait travailler la nuit pour s'offrir de quoi se nourir. Les maigres recettes servaient à acheter peu d'aliments, achetant par la même occasion des fleurs tous les jours pour aller déposer sur la tombe de sa mère. Lorsqu'il restait peu d'argent elle l'utilisait pour les fleurs et ne mangeait pas de la soirée. Elle passait ses jours et ses nuits à travailler. Le dimanche était le jour de repos, et elle dormait dans une petite chambre, de petite taille, avec juste un comode et un matelas sur le sol. C'était la chambre de sa mère, lorsqu'elle était plus jeune. Elle retrouva des affaires à elle dans les tirroirs. Elle grandit ensuite, et travailla pour son père qui avait arreté de la battre. Elle continuait le chemin entre la maison, le travail et le cimetière...

Lorsque l'apocalypse vint, sous la forme de la petite faucheuse qui avait tué tous les voisins et les commercants du quartiers, elle s'était réfugiée dans la chambre de sa mère, voulant s'échapper loin de son village. Elle se dépécha de ranger toutes ses affaires dans une petite valise vielle et usée. Et prit tout ce qu'elle pouvait mettre dedans, sans regarder ce qu'elle y mettait réèlement. Elle courut jusqu'à la cuisine. A ce moment là, elle vit son père allongé par terre, noyé dans une marre de sang. Liquide coulant de sa bouche grande ouverte. La jeune femme resta figée sur place, et le regarda, terrorisée. Elle se douta donc que c'était le maudit virus. Elle se demanda pourquoi, elle n'avait pas été victime de la même chose. Elle recouvrit son père d'un draps blanc, qui prit la couleur du sang après quelque seconde. Attrappa tous les morceaux de pain qu'elle pu trouver. Puis elle franchi la porte et se retrouva dans la rue. Elle découvrit alors les autres personnes qui voulaient sortir des maisons, mais ils étaient tous morts. Pas tous en fait, certains rempaient jusqu'à milieu de la rue pour finirent leur vie. La jeune femme, paralisée, fit tout de même e pas en arrière. Se retourna vivement. Et courut le plus loin possible. Seules des paroles venant du téléviseur lui restaient en tête. Elle se demanda si elle devait les rejoindre, de toutes façons tout était perdu...

Elle arriva alors au bout d'une longue route, dix-huit, c'était le nombres de jours qu'elle avait tenu, en mangeant des morceaux de pains racis et en avancant toute la journée au milieu des villes mortes. Elle arriva près d'une ville. Les rats rongeaient de partout, murs, toîts et même corps qui restaient là dehors. Certains rongueurs semblaient même morts à coté des hommes qui jonchaient le trottoirs. Les formes et les couleurs se mélangeaient parfois donnant l'illusion que les corps se fusionnaient entre eux. Ce qui d'un autre point de vue n'était pas totalement faux car partant du fait que les rats mangeaient tout autour d'eux, y compris les humains, du moins les restes, cette hypothèse n'était pas totalement inexacte. Mearyl avanca doucement essayant de ne pas regarder tout cela, mais au fur et à mesure qu'elle avancait, elle se rendit compte qu'ignorer tout cela semblait bien difficile,étant donné qu'il y en avait partout autour d'elle, son champs de vision ne pouvait écarter la vue des charognards et les proies. Mais elle devait s'y faire; elle n'y arriverait pas, elle le savait. Le grand centre commercial s'était dréssé devant elle. peut-etre restait-il quelque chose que les rats n'avaient pas avalé. Les réfugiés semblaient devoir venir ici, du moins elle n'avait vu qu'un seul homme, de dos, méconnaissable, et elle avait voulut l'appeller, mais sa voix s'était éteinte. Elle entra, fatiguée, assoifée, sans voix. Elle avança, aucun rats, étrange. Elle s'avença encore un peu et s'arrêta nette.

C'est ici qu'elle entendit derrière elle une femme dire "Ah, un nouveau venu"...

Tics/Manies/Signes particuliers :
Mearyl agrippe son bras droit avec sa main lorsqu'elle parle avec quelqu'un.
Elle passe sa main derrière sa nuque lorsqu'elle est génée.
Baisse souvent les yeux.

Personnel

Multicompte :
Non

Célébrité sur l'avatar :
Demi Lovato

Réflexions sur le forum :
Beau design

Comment avez vous connu le forum :
Par forumactif (moteur de recherche)

Mot de passe du règlement (c'est une phrase qui a été divisée en 4 et dont chaque bout se trouve dans un des sujets du règlement) :


Elle se leva du banc et se dirigea vers la grande dame à l'étrange voix. Elle tendit le crayon et la feuille à celle-ci. Fatiguée, assoifée, térassée, elle attendit que la "secrétaire" prenne le formulaire ainsi que le crayon. Elle baissa les yeux, comme pour s'excuser de lui donner du travail...